Dans les régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches, d’autres entreprises détenues et dirigées par des femmes se retrouvent dans le Palmarès des Affaires au féminin du magazine Premières en affaires. À noter que la liste n’est pas exhaustive.
Caroline Dallaire ne porte pas son jonc d’ingénieure. Par contre, au début de sa carrière, elle le glissait à son doigt chaque fois qu’elle participait à un événement réunissant des pairs. Des hommes en forte majorité.
«Dans sa liste d’objectifs à réaliser dans la vie, mon adolescente de 13 ans a écrit qu’elle voulait, un jour, prendre la relève de l’entreprise familiale», raconte Geneviève Tardif qui est propriétaire, avec sa sœur Caroline, de Groupe SM Tardif, une entreprise de Québec fondée il y a 40 ans par son père Serge.
Ses ingénieurs parcourent le monde pour dénicher des fournisseurs qui vont leur permettre de rassembler tous les morceaux de robots nécessaires. «On ne travaille qu’avec les meilleurs sur la planète», insiste Yves Proteau.
En étroite collaboration avec Robotiq, APN Global s’affaire à mettre la dernière touche à un robot qui, à partir d’une pince adaptative à deux doigts et d’une caméra conçues par l’entreprise de Lévis, manipulera, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, des petites pièces d’un moteur d’avion.
Il y a une quinzaine d’années, au moment où il débutait ses études en optométrie, Patrick Sauvageau caressait l’ambition de «révolutionner le monde» en inventant un appareil de diagnostic qui permettrait de court-circuiter le développement de maladies de l’œil, comme le glaucome, la dégénérescence maculaire ou la rétinopathie diabétique, avant qu’elles ne causent des dommages irréversibles.
Pour Jean Le Bouthillier, aucune autre expérience ne réussira à lui apporter la sensation que procure le pilotage d’un hélicoptère militaire. Pas même la fondation d’une entreprise spécialisée en cybersécurité.
S’il y avait un gâteau que Sophie Bourlard n’arrivait jamais à réussir, c’était le macaron. Aujourd’hui, elle est à la tête de son entreprise qui s’appelle, vous l’aurez deviné, Les macarons de Sophie !
La volonté de la Ville de Québec est d’augmenter le taux de création et de survie d’entreprises émanant de quatre secteurs d’activité économique jugés prioritaires pour la capitale, soit les technologies numériques, l’optique-photonique, l’agroalimentaire et les sciences de la vie.
La vente récente de deux entreprises locales du secteur des sciences de la vie et des technologies de la santé à des multinationales ne doit pas être inscrite dans la colonne des mauvaises nouvelles selon Québec International.
Il y a un peu plus de neuf ans, Medicago menait les premiers essais cliniques pour déterminer si son nouveau vaccin contre la grippe saisonnière était efficace et sans danger pour la population.
«Que diriez-vous si nous passions d’une économie de fabricant à une économie de propriétaire ? Et si nous nous mettions à créer des marques commerciales qui vont rapporter des milliards $ et non plus seulement à recevoir des contrats de service pour concevoir et pour développer des produits pour Harry Potter ou Bob L’éponge pour lesquels nous ne récoltons qu’une faible partie du produit des ventes.»
«Hein ! Je peux-tu prendre ça en photo ?» Un brin surpris, mais combien fier, Steve Couture prend connaissance d’une cartographie illustrant la croissance de la filière du jeu vidéo à Québec.
Polymorph Games est en voie de prouver qu’un petit studio de Québec peut distribuer lui-même, et ce à l’échelle planétaire, un jeu vidéo conçu et réalisé par une poignée d’artisans dans ses locaux de la rue Saint-Joseph. Et, du même coup, d’empocher tous les revenus des ventes de son projet phare appelé Foundation.
L’entreprise diaMentis a été fondée en 2015 et compte une vingtaine d’employés, principalement des médecins, des psychiatres, des ingénieurs et des industriels du domaine médical.
Le Soleil salue le retour du collègue Gilbert Leduc dans notre section Affaires. Retraité depuis quelques mois, Gilbert a laissé un excellent souvenir dans le monde des affaires de la grande région de Québec. À titre de collaborateur, notre collègue signera occasionnellement des textes pour mieux faire connaître des gens d’affaires et des entreprises d’ici.