
«Versailles-sur-Memphrémagog!»
«Cet endroit, je l’appelle Versailles-sur-Memphrémagog! Je ne connais pas la personne qui a installé ces jardins, mais ça me dépasse et me fascine. C’est quelqu’un qui est en amour avec Versailles, c’est indéniable. Et je pense que ce sont des jardins privés. Ils sont hallucinants», raconte M. Lahoud.
«C’est un exemple de la domestication de la nature, comme dans tout jardin à la française. On y voit des essences d’arbre impressionnantes. À l’automne, elles forment un bouquet exceptionnel. Cette couleur rose, j’ai rarement vu ça dans ma vie. Vu des airs, ça crée une grande beauté. Pas naturelle ni sereine comme on verrait dans Charlevoix, mais plutôt une sorte de beauté cartésienne.» Propos recueillis par Francis Higgins
Info : pierrelahoud.com
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