À 75 ans, Jacqueline Bouchard lance une première BD, un auto-récit qui se veut aussi œuvre utile.

Impossible de les manquer en arrivant chez Jacqueline Bouchard, des chevaux un peu partout, posés sur des meubles, jaillissant des cadres. Des chevaux qu’elle a dessinés, certains avec des traits à la fois précis et débridés, des zèbres aussi, parce que «c’est comme un cheval». Le cheval, c’est ce qui l’a sauvée.