Le Soleil
Mélikah Abdelmoumen
Autrice
Mélikah Abdelmoumen
Pour conclure (et pour Olivette)

Pour conclure (et pour Olivette)

CHRONIQUE / Nous y voilà. À la dernière de mes chroniques dans le cadre de cette résidence d’écriture avec Le Soleil et les Coops de l’information. Cette expérience était à la fois un rêve devenu réalité, et un défi que j’avais très peur de ne pas savoir relever.
Mélikah Abdelmoumen
Autrice
Mélikah Abdelmoumen
Le pouvoir de rien?

Mélikah Abdelmoumen

Le pouvoir de rien?

CHRONIQUE / Il y a un sujet dont je ne parle jamais, moi qui ai accès à des tribunes et dont la voix a une certaine place dans l’espace public. Un sujet à propos duquel il m’est impossible d’écrire des statuts, des articles et des chroniques. J’y pense, et c’est le silence qui m’envahit. Un silence terrifié. 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Dire <em>je</em>

Chronique

Dire je

CHRONIQUE / Ces jours-ci, dans le sillage de la remise du prix Nobel à Annie Ernaux et du Goncourt à Brigitte Giraud, une persistante petite mélodie s’est mise à résonner de nouveau dans les médias, journaux et réseaux sociaux, d’ailleurs et d’ici.
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Le monde appartient… à qui?

Chronique

Le monde appartient… à qui?

CHRONIQUE / Ces derniers temps, au Québec et ailleurs, on m’a posé à plusieurs reprises une question qui m’a jetée dans une grande perplexité. J’aimerais y réfléchir ici, avec vous. Elle a surgi, par exemple, au moment de discussions autour de mon dernier livre : «Comment vous situez-vous dans ce monde de wokes?» 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Dix consonnes et huit voyelles

Mélikah Abdelmoumen

Dix consonnes et huit voyelles

CHRONIQUE / «Je m’appelle Mélikah Abdelmoumen et je viens du Saguenay.» C’est la première phrase de mon dernier livre. Je voulais y affirmer mon appartenance à ma terre natale et marquer qu’on peut être foncièrement québécoise et s’appeler ainsi. Mais je sais le chemin qu’il reste à parcourir. Et je sais que certaines questions envahissantes qui tournent en boucle dans ma tête ne disparaîtront pas du jour au lendemain. J’ai envie d’en partager quelques-unes, ici, avec vous. 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Agir dans l’absurdité du monde*

Mélikah Abdelmoumen

Agir dans l’absurdité du monde*

CHRONIQUE / C’est toujours en direct de France que je vous écris. Deuxième partie de tournée pour la parution ici de mon dernier livre. Revenir, c’est aussi renouer avec une part importante de ma vie et les gens qui en faisaient partie. 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Partir, revenir, repartir

Partir, revenir, repartir

CHRONIQUE / J’écris ces mots dans un TGV entre Paris et Lyon. Je suis en tournée en France pour la sortie ici de mon livre Baldwin, Styron et moi, paru récemment chez Mémoire d’encrier. Pendant deux semaines, je vais me promener dans ce pays dont j’ai tellement voulu qu’il devienne le mien. Qu’il m’adopte. C’est un vieux rêve qui se réalise sur le tard.
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Écrire dans l’absurdité du monde

Chronique

Écrire dans l’absurdité du monde

CHRONIQUE / À quoi ça sert? À quoi ça sert d’écrire des essais, des billets, des chroniques comme celle-ci? À quoi sert notre petit espoir de changer le monde alors que le monde se moque bien de notre colère? Alors que ceux qui en tiennent les manettes n’ont que faire de nos inquiétudes et de nos indignations? 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
L’autre versant des réseaux sociaux

Melikah Abdelmoumen

L’autre versant des réseaux sociaux

CHRONIQUE / C’était en novembre 2015. Je vivais à Lyon depuis dix ans et j’avais passé une journée difficile. Rien de grave mais plein de couacs successifs comme perdre ses clefs (puis les retrouver), renverser du café sur son chemisier blanc, tomber à vélo et s’écorcher le genou, arriver en retard à l’école de son enfant au moment de la sortie des classes, etc. 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Les formules creuses

Chronique

Les formules creuses

CHRONIQUE / Il y a une phrase dont je me suis toujours méfiée : «Quand on veut, on peut.» Petite, déjà, je doutais. Cette manière de dire que l’échec frappe ceux qui l’ont choisi — et que la réussite arrive à ceux qui l’ont suffisamment voulue — me gênait. Il me semblait que c’était trop facile de dire ça. Surtout quand on montait sur scène parce qu’on avait gagné un grand prix, un trophée, ou d’incroyables sommes d’argent. «Je suis la preuve que quand on veut, on peut» , affirment parfois les personnes qui se retrouvent dans cette position, emportées par leur bonheur. 
Mélikah Abdelmoumen
Autrice
Mélikah Abdelmoumen
L’engrenage

L’engrenage

CHRONIQUE / Ce n’est pas la première fois que je raconte cette histoire. Ce n’est certainement pas la dernière. Voyez-vous, je m’y suis engagée. 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Et si c’était vous ?

Et si c’était vous ?

CHRONIQUE / Dans l’ouvrage Et si c’était vous? Exils Intra-Muros, le photographe français Marc Melki  met en scène des célébrités posant dans des situations d’itinérance.
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Confessions d’une groupie

Confessions d’une groupie

CHRONIQUE / Ça s’est passé lorsque j’avais 15 ans, dans le cours de français du professeur Michel Tolosa. Peut-être vous souvenez-vous de ce qu’on nous apprenait vers cet âge : l’intellectuel tel que nous le connaissons aujourd’hui est né en France, à la fin du dix-neuvième siècle, avec l’affaire Dreyfus. 
Mélikah Abdelmoumen
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Mélikah Abdelmoumen
Voter dans le vide

Chronique

Voter dans le vide

CHRONIQUE / J’ai grandi entre La Baie et Montréal mais à partir de 2005, j’ai vécu à Lyon. Je pensais que j’allais y faire ma vie. Je n’étais donc pas, dans mon esprit, de passage : j’étais une immigrée. Mais souvent, les choses ne se passent pas comme prévu : usée, je suis rentrée au Québec en 2017.