Une fois encore, les valeurs canadiennes de liberté absolue de religion et la vision québécoise d’une société moderne et pluraliste où la prière se fait en privé, s’entrechoquent. (Simon Séguin-Bertrand/Archives Le Droit)
CHRONIQUE / Le gouvernement fédéral a aménagé une cinquantaine, oui, une cinquantaine de salles de prière pour ses fonctionnaires qui peuvent donc parler à Dieu sur les heures de travail aux frais des contribuables. Bof, direz-vous, les fumeurs aussi font des pauses.