« Oui c’est alarmant. Oui on s’inquiète. Mais on n’est pas surpris, parce que ça concorde avec ce qu’on dit depuis des années », a lancé en entrevue vendredi Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE), affiliée à la CSQ.
Elle se dit aussi inquiète du fait que la vérificatrice générale a souligné que le ministère de l’Éducation ne semble pas trop au courant de ce qui se passe dans les écoles, qu’il manque de données.
La présidente de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE), Mélanie Hubert, nourrit les mêmes inquiétudes et n’est pas plus surprise.
Elle invite aussi à ne pas lancer la pierre à ces enseignants non qualifiés, qui viennent donner un coup de main aux autres enseignants qui sont épuisés.