
Le philologue belge n'a pas tardé à constater que les Québécois ont de l'imagination pour nommer les choses du sexe.
Georges Lebouc: les mots pour dire le sexe
La légende (ou le stéréotype...) dépeint souvent les Québécois comme de chauds lapins. Difficile de comparer objectivement nos performances intimes avec celles de nos cousins de la francophonie, mais quand vient le temps de «jouer aux fesses», de «faire du parking» ou même de «faire son lavage à la main», nous avons certes le vocabulaire le plus étendu pour en parler.