
Jean-Baptiste Rivard et Thérèse Lamontagne partagent leur vie depuis bientôt 70 ans. Ils ont toujours donné sans compter, sans jamais avoir l'impression d'en faire plus que l'autre.
Le steak à l'oignon
Tous les après-midi, à 16h tapant, le téléphone sonne chez Thérèse Lamontagne et Jean-Baptiste Rivard. Au bout du fil, un de leurs trois fils. «Il faut qu'il appelle à chaque jour, sinon je suis inquiet.» C'est le père qui parle. Son gars habite seul en appart, n'a pas une grosse santé, voit de moins en moins clair.