Après de longues tergiversations, les élus du comité exécutif de la mairie viennent d’autoriser la dépense : un contrat de quelque 2,35 millions $, selon les fichiers publics d’appels d’offres du gouvernement québécois.
Un investissement paysager important, donc, dans la Basse-Ville de Québec.
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KIOSQUES
Des modules de jeux pour les petits, il n’y en aura point.
Au fil des consultations, on a jugé préférable d’aménager les lieux pour la tenue d’événements divers : foire brassicole, vente de produits maraîchers…
N’empêche, les jets d’eau rafraîchissants subsisteront l’été. Tout comme le sentier circulaire mutant en anneau de glace l’hiver.
Quelles nouveautés ? Une quinzaine de kiosques apparaîtront. Notamment pour la tenue d’un marché estival.
Il y aura également du mobilier neuf. Des plateformes pour grimper, s’asseoir, se coucher. Une petite scène aussi.
Les entrées du parc seront, en outre, redessinées. Et une allée de pavés tranchera l’ovale de gazon, au centre du parc.
Ajoutez de nouvelles plantes.
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OASIS
Le quartier Saint-Sauveur est un des plus pauvres en verdure dans la capitale.
Son indice de canopée n’est que de 13 %, ce qui signifie que le feuillage des arbres vu du ciel ne couvre que 13 % du quartier. Loin de l’idéal fixé par la mairie à 35 %.
Le parc Durocher y offre donc un îlot de fraîcheur. De taille modeste, il s’étend sur 4171.40 m2, selon la documentation municipale. En pieds carrés : 44 900.
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DEPUIS 2016
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Voici plusieurs années qu’une cure de jouvence est évoquée pour le parc Durocher. Au moins depuis la démolition du centre communautaire Durocher voisin, en octobre 2016.
Selon le média local Carrefour de Québec, les travaux débuteront ce printemps et s’étireront jusqu’à l’automne 2024. Le parc ne sera pas accessible tant que les ouvriers bosseront.
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OPTION A
Notons que la Ville avait soumis deux projets aux entrepreneurs soumissionnaires.
Dans l’option A, la municipalité demandait des matériaux spécifiques, jugés plus dispendieux.
Dans la B, il était question de «matériaux de moindre qualité».
Surprise, les trois entreprises ont proposé des budgets quasi identiques pour les deux options. Peu importe les exigences.
La Ville a choisi la A, à peu près 1,5% plus coûteuse.
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