Depuis plusieurs années, je ne compte plus les fois où la rue donnant accès à la cour d’école ainsi que les corridors scolaires n’étaient pas adéquatement déneigés ou entretenus même plusieurs jours après un événement météorologique, compliquant ainsi la rentrée des classes et posant un risque pour la sécurité des nombreux élèves qui marchent pour se rendre à l’école.
À titre d’exemple, le 16 janvier au matin, soit trois jours après la tempête du 13 janvier, la neige n’avait toujours pas été ramassée dans la rue de la cour d’école et des amas de neige bloquaient certaines portions du corridor scolaire, obligeant ainsi les élèves à emprunter brièvement la rue pour circuler.
La situation s’est répétée le 27 janvier, au lendemain de la tempête du 26.
L’an dernier, la Ville a aussi mis plusieurs jours pour répandre des abrasifs sur les trottoirs du secteur de l’école après un épisode de pluie verglaçante, ce qui a causé la chute de plusieurs élèves.
Au surplus, pendant que nous composons avec ces situations aux abords de l’école, une multitude de rues résidentielles voisines sont déneigées et entretenues. Cela démontre bien qu’il s’agit d’un problème de priorité et non de capacité.
Je dénonce l’inaction de la Ville qui, après de nombreuses plaintes, ne change toujours rien à ses façons de faire afin que le secteur de l’École des Jeunes-du-Monde soit déneigé et entretenu de façon prioritaire.