
Singapour figure parmi les endroits où je m’aventurerai probablement en solo.
Voyager solo quand on est deux
Elle pèse lourd, la solitude. Le mot lui-même compte bien quelques tonnes. On le placerait dans un bassin d’eau et il coulerait à pique, comme l’ancre d’un paquebot. Parce qu’on a peur d’être seul trop longtemps, j’imagine. Parce qu’on a peur qu’elle dure toujours, la solitude. Mais être un, juste un, sans personne d’autre, des fois, c’est s’accorder à soi-même l’importance qu’on ne se donne pas souvent.