Ils ont fui la guerre et les violences dans leur pays et doivent apprendre à lire et à écrire, comme les autres enfants sur les bancs d’école au Québec, mais les traumatismes que plusieurs ont vécus créent des barrières à l’apprentissage.
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Les réfugiés sur les bancs d’école
Jean Philippe Angers
La Presse Canadienne
Ils ont fui la guerre et les violences dans leur pays et doivent apprendre à lire et à écrire, comme les autres enfants sur les bancs d’école au Québec, mais les traumatismes que plusieurs ont vécus créent des barrières à l’apprentissage.