Les vaccins semblent avoir moins d’effet quand les doses sont rapprochées, ou quand ils suivent de trop près une infection au virus. (Archives PC, Lars Hagberg/Archives PC, Lars Hagberg)
L’affirmation: «Comment expliquer la nécessité d’une nouvelle dose de rappel à tous les cinq mois? Est-ce à cause de l’effet limité dans le temps des vaccins à ARN ou parce que le virus mute sans cesse? Si c’est la première hypothèse qui est la bonne, y a-t-il des compagnies pharmaceutiques qui travaillent sur un vaccin plus conventionnel? Après trois ans, on devrait y être arrivé, non?», demande Daniel Baril, de Saint-Antoine-de-Tilly.