Pour l’heure, on ne dispose d’aucune preuve montrant que les masques seraient nocifs pour le développement, l’apprentissage ou la santé mentale des enfants. (Archives Le Soleil/Archives Le Soleil)
La Santé publique du Québec a recommandé mercredi de recommencer à porter le masque dans les lieux publics achalandés, sauf dans les écoles et les services de garde. Considérant que ces milieux souvent mal ventilés sont d’importants vecteurs de transmission virale, pourquoi la Santé publique les a-t-elle exclus de sa recommandation?