
Si les partis refusent d’en discuter, il s’agira «d’une attaque à la démocratie», prévient Paul St-Pierre Plamondon.
Refuser un espace au PQ serait «une attaque à la démocratie», dit PSPP
Les partis à l’Assemblée nationale doivent s’entendre pour accorder des budgets et un temps de parole au Parti québécois (PQ), car ses trois sièges obtenus ne reflètent pas la volonté de la population, plaide son chef Paul St-Pierre Plamondon, au lendemain des élections.