Pourtant, son mandat n’a été qu’une suite de démonstration d’incompétence, de déconnexion de la réalité (surtout en environnement), de mépris des minorités et des pauvres dans un pays déchiré par les inégalités sociales.
Et le pire est qu’une grande partie de son électorat se retrouve justement parmi les classes sociales les moins richissimes ainsi que les moins éduquées, et elles sont donc les plus réceptives à la désinformation et à la propagande d’une droite au service des grandes fortunes brésiliennes.
Ceci met donc en lumière un fait évident: la démocratie politique sur papier est bien jolie, mais son espérance de vie est limitée si la démocratie économique (et donc effective) égalisant les chances pour tous ne vient pas la soutenir dans la réalité.
Jimmy St-Gelais
St-Jérôme