80 % des immigrés qui ne travaillent pas, vraiment?

Le ministre caquiste du Travail et député sortant de Trois-Rivières, Jean Boulet

L’affirmation: «On a deux défis au Québec : un économique, lié à la pénurie de main-d’œuvre, et un de vitalité de la langue. 80 % des immigrants s’en vont à Montréal, ne travaillent pas, ne parlent pas français ou n’adhèrent pas aux valeurs de la société québécoise. La clef, c’est la régionalisation et la francisation», a déclaré le ministre caquiste du Travail et député sortant de Trois-Rivières, Jean Boulet.