Le recrutement de la main-d'oeuvre demeure l'enjeu numéro un pour les entreprises québécoises. (Archives La Tribune, Maxime Picard/Archives La Tribune, Maxime Picard)
CHRONIQUE / La rétention et le recrutement de la main-d’œuvre affectent présentement les gestionnaires des entreprises québécoises. Plus que la hausse des taux d’intérêt et d’une possible récession.