
Le travail répond au besoin intérieur de se positionner dans le monde, fait valoir l’auteur René Bolduc. Il nous procure une dignité, un plaisir.
Travailler à être heureux
On en a trop, on se plaint. On n’en a pas, même refrain. On veut qu’il donne un sens à notre vie; il sème parfois l’ennui. Dans un monde où de plus de plus gens travaillent à être heureux et où notre rapport au travail se métamorphose, à quoi tout cela rime-t-il? Le Soleil en a discuté avec René Bolduc, ex-professeur de philosophie au Cégep Garneau et auteur de l’essai Travail et temps.