Suzanne Paquette devant Pulsion, au Centre d’exposition Louise-Carrier (Le Soleil, Erick Labbé/Le Soleil, Erick Labbé)
Pour Suzanne Paquette, le seuil d’une maison est une frontière aussi importante que celle qui délimite un pays. Dans ses tapisseries haute lisse, les portes deviennent les symboles qui séparent le social de l’intime, mais aussi des souvenirs de voyage, qu’elle fragmente à dessein.