
Le Local est mort, vive le Local
POINT DE VUE / En cette période trouble où la dureté des réalités vécues par les habitants de la rue dépasse largement la fiction; où les organismes œuvrant en itinérance débordent et expriment un essoufflement sévère et symptomatique d’une pandémie qui a frappé violemment le milieu; alors que le SPVQ cherche à adapter ses approches afin d’intervenir plus humainement auprès des personnes en situation d’errance dans le quartier.