L’initiative du groupe d’Olga, de Yarik et de leurs amis s’inspire du mouvement Food not Bombs («De la bouffe, pas des bombes») (Collaboration spéciale, Frédérick Lavoie /Collaboration spéciale, Frédérick Lavoie )
CHRONIQUE / À moins de s’appeler Vladimir Poutine, la guerre est rarement un choix personnel. Elle place chacune et chacun devant des dilemmes moraux déchirants, insolubles. Peut-on refuser de se battre quand son pays est attaqué et qu’on risque de le perdre à tout jamais? Est-il décent de s’acharner à rester pacifiste devant l’horreur perpétrée contre les siens?