L'animateur a confirmé qu'Anne Casabonne avait été invitée mais qu'elle a finalement refusé. «C'est quoi le regain de popularité d'Anne Casabonne? Y a-tu un spin-off de Macaroni tout garni?» a demandé Virginie Fortin, qui occupait avec efficacité le siège de coanimatrice dimanche soir.
Stéphanie Hariot, qui a décidé d'ouvrir la salle à manger de sa pâtisserie à Jonquière malgré les mesures sanitaires, le dit elle-même: «Je ne suis pas commode!»
Même si les dates du 31 janvier et du 8 février circulent pour une éventuelle réouverture des restaurants, ce dont elle doute fort, Mme Hariot n'a pas l'intention de fermer à nouveau en attendant. «Je suis une femme radicale et je ne suis pas le style à me laisser mourir à petit feu comme on me mène [par le] bout du nez depuis deux ans.»
Bien sûr, elle s'inquiète d'éventuelles amendes salées mais elle se battra jusqu'au bout. Et que les complotistes et autres «anti-toute», qui récupèrent son action pour appuyer leur discours, se le tiennent pour dit: «Y'a pas personne qui va profiter de moi!»
Celle qui dit agir ainsi à titre personnel et non pour créer un mouvement rappelle avoir toujours scrupuleusement respecté les règles sanitaires. «J'ai un foutu caractère et je sais faire respecter les normes aux anti-toutes, qui voudraient chercher à m'influencer. J'ai le contrôle un petit peu sur ma clientèle.»
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La facture amoureuse, le nouveau livre de Pierre-Yves McSween, coécrit avec Paul-Antoine Jetté, n'a rien de romantique mais s'appuie sur beaucoup de lucidité. Pour le comptable, il est aussi important de faire passer un test de ITSS à son nouveau conjoint que de connaître sa cote de crédit!
Pierre-Yves McSween prône l'indépendance financière dans le couple et ne trouve aucun réel avantage au mariage. L'auteur souligne «les règles complètement fuckées de notre système de droit» qui compliquent encore plus les choses.
Il aborde aussi la question de la violence financière. «Si ton conjoint surcontrôle ta vie, tes dépenses et te demande tout ce que tu fais à la cent près, c'est du contrôle et ça devient violent à un moment donné. À l'inverse, si quelqu'un est un boulet et ne fait pas attention à son avenir, il vient détruire ton avenir à toi.»
Segment extrêmement intéressant sur les Jeux de Pékin avec deux invités complémentaires, le journaliste Martin Leclerc et le chroniqueur ex-diplomate Jean-François Lépine, qu'il fait bon revoir et réentendre. Celui-ci a d'ailleurs brossé un portrait révélateur de la situation politique en Chine, plus contraignante que celle qu'il avait connue pour les Jeux d'été en 2008. «Nous étions libres d'aller où on voulait», se souvient-il.
«Ça ne fait pas le bonheur de tout le monde d'aller couvrir ces Jeux-là», reconnaît Martin Leclerc, dont l'épouse, Chantal Léveillé, est rédactrice en chef à Radio-Canada Sports, et qui parle d'un «état de panique» parmi les équipes déjà rendues là-bas.
Il explique que les tests ultra sensibles imposés en Chine jouaient au yo-yo avec les résultats, jusqu'à ce que le CIO annonce une diminution des taux de sensibilité, donnant ainsi raison aux détracteurs de ces tests.
C'est en discutant avec une voisine que Jessica Barker a pris connaissance de l'ampleur des problèmes de santé mentale périnatale, un sujet dont on ne parle pas. Elle a voulu en parler dans un documentaire important, Maman, pourquoi tu pleures?, diffusé à Canal Vie mercredi à 19h. À elle et à Émilie Choquet, je décerne l'étoile du match pour leur sensibilité et leur courage à traiter publiquement de ce sujet dont on ne parle pas.
«La maternité, c'est Walt Disney. On la "romantise", c'est extraordinaire», explique-t-elle, faisant référence à l'image parfaite de la mère heureuse, à laquelle on peut difficilement toucher.
Un mois après la naissance de sa fille, l'écrivaine Émilie Choquet a dû être hospitalisée pour une dépression post-partum avec intensité psychotique. «Pendant environ trois semaines, on a pensé que je n'allais jamais revenir. Mon chum a pensé qu'il n'allait jamais retrouver sa blonde», raconte l'autrice, qui a finalement pu être soignée et songe à avoir un deuxième enfant.
Jessica Barker, dont c'est le premier documentaire, souligne l'aberration qu'une seule page du livre Mieux vivre avec votre enfant de la grossesse à deux ans, distribué aux futurs et aux nouveaux parents, concerne la dépression, alors qu'une centaine sont consacrées à l'allaitement. Elle déplore le peu de ressources à la disposition des patientes et de leurs familles.
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Dans une entrevue accordée quelques minutes après la diffusion de La vraie nature chez le compétiteur, Jean-Philippe Dion a assuré que le premier variété de Star Académie, retardé à deux reprises, sera bel et bien présenté dimanche prochain à TVA.
Parmi les 10 candidats sur 19 qui ont eu un test positif, tous isolés dans un hôtel de Montréal, il n'y a aucun cas grave et personne n'a dû être hospitalisé, précise-t-il. «Le moral n'est pas facile», admet néanmoins le producteur, qui ajoute qu'on leur organise des bingos et des activités sportives par Zoom pour les garder actifs.
Comment ont-ils pu contracter la COVID alors qu'ils étaient en isolement depuis le 3 janvier? Probablement «des restants du temps des Fêtes», répond Jean-Philippe Dion, ajoutant que tous ont reçu leur troisième dose vaccinale.
Moment d'émotion quand il a parlé de sa mère, qui a eu de graves problèmes de santé mentale après sa naissance, et dont il a toujours pris soin. «Ça a forgé mon caractère», affirme l'animateur, qui témoigne dans le documentaire de Jessica Barker.
Entrevue franchement sympathique, pleine d'humour, avec Les Louanges, dont le deuxième album, intitulé Crash, résume un peu sa vie des trois dernières années. Il a raconté sa rencontre fortuite avec Corneille, avec qui il souhaitait travailler depuis longtemps sans jamais oser l'appeler. «Corneille, c'est un vrai prince!» dit-il de l'artiste, qui l'accompagne sur la chanson-titre.
Il amorçait une tournée en France quand la pandémie est tombée et qu'il a dû rentrer au pays. «Ça m'a permis de prendre un pas de recul», affirme celui qui se serait un peu assagi. Autobiographique, La chaussée raconte une histoire d'amour qui s'est mal terminée.
Les Louanges, à qui j'accorde aussi une étoile du match, y est allé d'anecdotes savoureuses, comme lorsqu'il s'est rendu compte que sa chanson «Qu'est-ce que tu m'fais?» était «sur le même beat» que la Macarena. Une danse qu'il pourrait reprendre en spectacle.
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