«Les émotions reviennent toujours, mais elles sont moins vives qu’avant», confie Boufeldja Benabdallah. (Le Soleil, Patrice Laroche/Le Soleil, Patrice Laroche)
La douleur reste bien vive dans la communauté, mais elle ne l’empêche pas de continuer à s’enraciner davantage dans la Capitale, confie Boufeldja Benabdallah. En cette ouverture des commémorations de l’horrible tuerie survenue il y a maintenant près de cinq ans, le président de la Grande mosquée de Québec s’est entretenu avec Le Soleil.