Cinq ans après la tragédie de la Mosquée, la blessure se referme tranquillement

«Les émotions reviennent toujours, mais elles sont moins vives qu’avant», confie Boufeldja Benabdallah.

La douleur reste bien vive dans la communauté, mais elle ne l’empêche pas de continuer à s’enraciner davantage dans la Capitale, confie Boufeldja Benabdallah. En cette ouverture des commémorations de l’horrible tuerie survenue il y a maintenant près de cinq ans, le président de la Grande mosquée de Québec s’est entretenu avec Le Soleil.