
Des journalistes au front, mais amochés
Cordonniers mal chaussés, les journalistes parlent de plus en plus de santé mentale et de travailleurs qui n’en peuvent plus, mais ils s’intéressent peu ou pas au phénomène dans leurs propres rangs. L’étudiant au doctorat Samuel Lamoureux constate que le point de rupture, la perte de la passion pour le journalisme, survient plus tôt que jamais.