|Archives

Baccalauréat en travail social: passionnée du travail social… et du rugby!

Contenu commandité

Sportive, engagée dans sa communauté et animée d’un profond désir d’aider, Laurie Houde a trouvé à l’UQAR un milieu qui répond à ses aspirations. En voie de terminer sa troisième année au baccalauréat en travail social, elle est capitaine de son équipe de rugby et a aussi été vice-présidente de l’association étudiante de son programme.  


Originaire de Beloeil en banlieue de Montréal, Laurie complète une technique en éducation spécialisée au Cégep Marie-Victorin avant de faire le choix de s’inscrire au baccalauréat en adaptation scolaire et sociale à l’Université de Sherbrooke. Assez rapidement, elle constate toutefois qu’elle n’est pas à sa place et opte pour le certificat en travail social. Comme dans le cas de l’éducation spécialisée, elle «adore ça» et décide de poursuivre dans cette voie.

Laurie Houde, étudiante à l'UQAR en travail social

«Quand j’ai commencé à faire des démarches pour entrer au baccalauréat en travail social, j’ai regardé tous les programmes disponibles et c’est celui offert par l’UQAR qui m’a allumée, rapporte l’étudiante qui fréquente le campus de Lévis. Le fait que ce soit des petits groupes, qu’il y ait une proximité avec les professeurs et les autres étudiants, que tout soit accessible me plaisait énormément. Je voulais une petite université où les échanges sont possibles.»

Laurie, qui a toujours fait du sport, y voit également l’occasion de s’initier au rugby. Pouvoir apprendre une nouvelle discipline à l’université constitue pour elle une chance. Cette année, elle devient même capitaine de son équipe. Elle participe ainsi à l’organisation de tournois et joue non seulement au Québec, mais à New York. La finissante ajoute qu’elle a contribué à relancer la formation durant la COVID. Et grâce à ce sport, elle a rencontré son amoureux. 

À l’UQAR, on a une proximité qui est vraiment enrichissante pour le développement à la fois personnel et professionnel. D’être en relation d’aide, c’est quelque chose qui m’a toujours intéressée. Pendant ma formation, j’ai pris conscience que le mélange du travail social et des activités sportives représentait un match idéal dans ma vie.


Une carrière à sa mesure

Vice-présidente de l’association étudiante du programme de travail social l’an dernier, celle qui a un historique d’engagement s’estime comblée. «C’est facile de s’impliquer à l’UQAR et j’ai pu mettre sur pied plein de choses ! Dès le primaire, j’ai été présidente de classe. En secondaire 4, j’ai été présidente de mon école. Rendue au cégep, je me suis engagée dans les sports parce que j’étais sau-veteuse et monitrice en natation. Je continue à l’université!»   

Si Laurie songe à entreprendre une maîtrise en psychoéducation, elle réalisait jusqu’à tout récemment un stage au Centre de réadaptation en déficience physique de Charny. Appelée à travailler auprès d’une clientèle aux prises avec un traumatisme craniocérébral, la jeune femme considère avoir vécu une expérience positive et formatrice. Peu de cours préparent à intervenir dans ce type de contexte. Elle se dit reconnaissante d’avoir eu cette possibilité.             

«Ce que j’aimerais après mes études, mon rêve, ce serait de me retrouver dans une école secondaire ou une université. Je souhaiterais y agir comme travailleuse sociale et en même temps, d’être engagée dans la vie étudiante, les loisirs et les sports de l’établissement. Ce serait une combinaison parfaite pour moi. Ces deux facettes-là rejoindraient mes intérêts et mon envie de créer des liens de confiance avec les gens», termine la finissante de l’UQAR.

Entrevue et rédaction: Johanne Martin

Chaque année, l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) accueille quelque 6500 étudiantes et étudiants. Depuis sa création, en 1969, elle a décerné plus de 50 000 diplômes. Des groupes à échelle humaine, une formation axée sur la pratique et résolument ouverte sur le monde: bienvenue dans la grande université de petite taille.

8 de 8

Pour en savoir davantage sur ce programme: Programme de baccalauréat en travail social de l’UQAR