
Faute de financement suffisant, les centres d’intervention de crise de la province peinent à maintenir leurs services.
À bout de ressources, les centres de crise lancent un cri du coeur
Faute de financement suffisant, les centres d’intervention de crise de la province peinent à maintenir leurs services. Au point où de plus en plus de personnes en détresse pourraient bien devoir se rabattre sur les urgences, que les centres de crise devaient pourtant contribuer à désengorger lors de leur mise sur pied au milieu des années 80.