
Julie espérait que l’engagement de son ex-conjoint en vertu de l’article 810 allait mettre fin à son cauchemar. Mais la violence a continué, allègue-t-elle.
Violence conjugale: «S’il me tue, vous allez savoir pourquoi»
Au Québec, des femmes victimes de violence conjugale se retrouvent couramment sur une voie judiciaire alternative surnommée le «810», qui mène à un mandat de paix et évite des casiers judiciaires aux hommes visés. «C’est une fausse protection», affirme une femme qui continue de craindre pour sa vie.