Des réfugiés entassés sur un pont regardent un match de soccer improvisé dans le camp de Kutupalong. (Photo Renaud Philippe/Photo Renaud Philippe)
CRITIQUE / Il y a plusieurs choses qu’il faut saluer avec l’arrivée d’Errance sans retour au cinéma : le courage de réaliser d’un long documentaire sur les réfugiés rohingyas ; la persévérance de Mélanie Carrier et Olivier Higgins ; la superbe esthétique poétique qui traduit une vision singulière du sujet ; l’humanisme du propos… Ce qui fait du film une expérience immersive pertinente et touchante.