Un chemin à tracer: une expédition difficile, mais lumineuse
Par Marie Tison|
Chaque soir, François Léger-Savard installe son bureau et procède à la sauvegarde des images de la journée. (Cloé Fortin/Cloé Fortin)
Les gens sont isolés, confinés. Ils ont probablement besoin d’oxygène, de lumière, de grands espaces. Ils ont probablement envie de rêver en regardant des aventuriers lutter contre une nature hostile, des aventuriers sympathiques qui gardent le sourire malgré tout.