Le marcassin envolé: on survit au deuil de son enfant

D’une plume douce, parfois triste, philosophe ou en colère, la maman de Paul met des mots sur le vide immense qu’il a laissé derrière lui le 1er février 2014.

Oui, on survit au deuil de son enfant. Et Le marcassin envolé en est la preuve ultime. Dans ce récit personnel, Typhaine Leclerc raconte la courte vie de Paul, son tout premier bébé, décédé subitement, 28 jours après sa naissance. D’une plume douce, parfois triste, philosophe ou en colère, la maman de Paul met des mots sur le vide immense qu’il a laissé derrière lui le 1er février 2014.