S’il est difficile de mesurer avec exactitude le taux de faux positifs que produisent les tests de COVID-19, on a d’excellentes raisons de penser qu’ils sont très rares. (Photothèque le soleil/Photothèque le soleil)
L’affirmation : «Des gens de mon entourage ont commencé à m’envoyer des “informations” au sujet de cette “fausse pandémie” que serait la COVID. J’ai cru comprendre que lors des tests PCR, on fait subir des cycles d’amplification à l’ARN du virus et qu’en fonction du nombre de cycles effectués, le degré de sensibilité augmentait. On me dit qu’à plus de 40 cycles d’amplification, nous ne retrouverions que des traces du virus, généralement mort, et que ça serait généralement des gens asymptomatiques ou qui n’ont plus de charge virale contagieuse qui se rendent là. Est-ce vrai, et quelle est la sensibilité des tests qui sont utilisés au Québec?» demande Maxime Ladouceur, de McMasterville.