Avec un taux d’occupation variant entre 30 % et 40 % pour le mois de juillet, les hôtels de la région ressentent, eux aussi, les contrecoups du nouveau coronavirus. (Le Soleil, Erick Labbé/Le Soleil, Erick Labbé)
Loin d’être découragé par les bas taux d’achalandage et les vagues de licenciement collectif, le monde de l’hôtellerie se relève les manches. Pour plusieurs, l’automne sera synonyme de rentrée scolaire afin de perfectionner leurs connaissances et d’être fin prêts pour le retour des touristes… d’ici quelques années.