Actuellement, on recommande que les femmes de 50 à 74 ans à risque «moyen», c’est-à-dire qui n’ont pas de facteurs de risques connus, subissent une mammographie aux deux ou trois ans. (Archives AP, Torin Halsey/Archives AP, Torin Halsey)
Quel est précisément le risque pour une femme de développer un cancer du sein? Peut-on personnaliser le dépistage par mammographie en fonction de ce risque individuel? C’est ce que le Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval veut évaluer dans le cadre de l’étude clinique Perspective, pour laquelle il désire recruter 4000 participantes. Avantage non négligeable en cette période de pandémie : les volontaires n’auront pas à se déplacer puisque les différentes étapes de l’étude se dérouleront en ligne, une première au Québec pour un projet du genre.