«Ça ne prend pas que des bras. Ça prend aussi des professionnels et des leaders», soutient-elle. «Il y a tellement autre chose que les bains et la bouffe». Il faudrait par exemple plus d’infirmières en prévention des infections, d’ergothérapeutes, de psychologues, de physiothérapeutes. (Photothèque Le Soleil/Photothèque Le Soleil)