
«Les virologues reconnaissent que la destruction des habitats naturels, qui crée une proximité nouvelle entre les espèces sauvages et les humains, favorise cette transmission de virus inter-espèces», écrit Louise Morand.
Crise présente, crises futures : il faut écouter les scientifiques
POINT DE VUE / Il est bien connu que, lorsque des populations sont frappées par des catastrophes, la plupart des gens ne s’intéressent à rien d’autre que ce qui peut leur rendre l’espoir de voir la lumière au bout du tunnel.