«Relégué.es jusqu’en juin prochain au seul rôle de conseiller, souvent très peu sollicité.es par l’administration, les élu.es scolaires muselé.es et sans pouvoir d’action, reçoivent pourtant de nombreuses demandes de parents et d’intervenants sociaux souhaitant leur aide, dans une multitude de situations», écrivent les auteurs. (PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL/PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL)