Les droits en temps de crise — deuxième partie

Le premier ministre du Québec François Legault

POINT DE VUE / Dans la première partie de ce billet, je montrais que les mesures exceptionnelles qui nous sont imposées dans le cadre de la pandémie du virus de la COVID-19 peuvent s’expliquer par l’application de certains principes juridiques. Cela dit, pour tout justifié qu’il puisse être, le débalancement des pouvoirs qui découle d’une crise de l’ampleur de celle que nous traversons actuellement est toujours dangereux pour une société démocratique.