La CSQ, la CSN et la FTQ déplorent que les services de garde d’urgence ne fassent encore l’objet d’aucune forme de compensation financière. (Archives La Presse, Marco Campanozzi/Archives La Presse, Marco Campanozzi)
Les travailleuses des services de garde d’urgence, où au moins 15 cas de COVID-19 ont été rapportés depuis le début de la crise sanitaire, assument leurs responsabilités sans compensation financière supplémentaire, avec la crainte de contracter à leur tour la maladie et de contaminer leurs proches. C’est le cas d’Annick Côté, qui estime que ses consoeurs et elle sont «les grandes oubliées de la pandémie».