Travailleuses des services de garde d’urgence: «les grandes oubliées de la pandémie», dénonce une éducatrice

La CSQ, la CSN et la FTQ déplorent que les services de garde d’urgence ne fassent encore l’objet d’aucune forme de compensation financière.

Les travailleuses des services de garde d’urgence, où au moins 15 cas de COVID-19 ont été rapportés depuis le début de la crise sanitaire, assument leurs responsabilités sans compensation financière supplémentaire, avec la crainte de contracter à leur tour la maladie et de contaminer leurs proches. C’est le cas d’Annick Côté, qui estime que ses consoeurs et elle sont «les grandes oubliées de la pandémie».