Nathalie Duchaine et sa mère Geneviève Beauvais composaient l’auditoire des Voix du Littoral mercredi soir, à la Maison des soins palliatifs du Littoral, à Lévis. (Le Soleil, Caroline Grégoire /Le Soleil, Caroline Grégoire )
CHRONIQUE / Le trac, pour un choriste des Voix du Littoral, ce n’est pas seulement la peur de chanter faux, d’oublier des paroles ou de se retrouver devant des inconnus. C’est aussi la crainte d’être envahi par l’émotion, au point d’avoir le «motton», en chantant devant des personnes en fin de vie et leurs proches dans le salon de la Maison des soins palliatifs du Littoral, à Lévis.