L’Agence des services frontaliers du Canada enquêtait depuis plusieurs mois sur la présence de travailleurs sans permis de travail dans la résidence privée Chanoine-Scott, où habitent 65 personnes âgées en perte d’autonomie.
Durant une période allant de mai 2016 à mars 2018, Thomassin est accusé d’avoir engagé sept femmes et deux hommes étrangers qui n’étaient pas autorisés à occuper un emploi en vertu de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés. S’il est déclaré coupable, Thomassin s’expose à une amende maximale de 50 000 $ et à emprisonnement maximal de deux ans. Le dossier reviendra à la cour à la mi-octobre.