Le Soleil
La nouvelle salle d’un peu plus de 600 places était comble pour cette pièce de sept heures, en sept actes — d’où le titre qui évoque les tributaires de la rivière qui baigne la ville d’Hiroshima, au Japon.
La nouvelle salle d’un peu plus de 600 places était comble pour cette pièce de sept heures, en sept actes — d’où le titre qui évoque les tributaires de la rivière qui baigne la ville d’Hiroshima, au Japon.

«Les sept branches de la rivière Ota»: un flot majestueux

Éric Moreault
Éric Moreault
Le Soleil
CRITIQUE / L’atmosphère était chargée d’électricité pour la première représentation des «Sept branches de la rivière Ota». Parce que la reprise de la création collective, née il y a 25 ans et devenue culte, inaugurait le théâtre Diamant, au cœur du Vieux-Québec. Les spectateurs présents ont eu droit à un moment magique, hors du temps, qui marque l’esprit autant que le cœur. Un véritable triomphe pour Robert Lepage, la distribution et tous les artisans.