
Le rapport du commissaire à l'éthique, Mario Dion, rendu public mercredi, offre par exemple plus de détails sur l'implication d'anciens juges de la Cour suprême - et pourquoi le cabinet du premier ministre n'a pas fait confiance au jugement de Jody Wilson-Raybould, en insistant pour que la procureure générale obtienne un deuxième avis dans l'affaire SNC-Lavalin.