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Les papatients

Par Marie-Ève Martel
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Personne n’a autant d’importance dans ma vie que mon père, Réjean, avec qui j’ai fait les 400 coups. Avec qui je partage rires, joies et défaites. Il a été très papatient, et ça a fini par lui sourire.

Personne n’a autant d’importance dans ma vie que mon père, Réjean, avec qui j’ai fait les 400 coups. Avec qui je partage rires, joies et défaites. Il a été très papatient, et ça a fini par lui sourire. (MARIE-ÈVE MARTEL/MARIE-ÈVE MARTEL)

CHRONIQUE / Ce sera la fête des Pères demain.

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