Dominique Leclerc dans «Post-Humains» (MARIE-ANDRÉE LEMIRE/MARIE-ANDRÉE LEMIRE)
Se joindre à un club de cyborgs berlinois pourrait être la prémisse d’un scénario de film de science-fiction. Ce fut surtout le début de l’aventure de «Post Humains», où Dominique Leclerc a marié autofiction et théâtre documentaire pour amener les spectateurs à voir que les amalgames entre corps et technologie font partie de notre futur proche.