«À moins que surgisse un revirement inattendu, le panorama électoral laisse peu de place à l’espoir pour ce pays post-conflit qui peine à se reconstruire et dont la proportion de la population pauvre ne cesse d’augmenter (59,3% en 2014)», écrit Marie-Dominik Langlois, doctorante en sociologie, Université d’Ottawa. (AFP, Johan Ordonez/AFP, Johan Ordonez)