
L’an dernier, le Parti québécois avait déposé un projet de loi qui visait à ce que toutes les écoles primaires et secondaires aient une série d’obligations à respecter, dont celle d’avoir un auto-injecteur d’épinéphrine (EpiPen) à portée de main pour faire face aux cas urgents de réaction allergique.
Allergies à l’école: l’approche coercitive écartée
Il n’est pas question pour la ministre de la Santé Danielle McCann d’adopter l’approche coercitive en obligeant toutes les écoles du Québec à encadrer de la même façon les élèves qui souffrent d’allergies alimentaires graves. Elle mise plutôt sur un guide des bonnes pratiques.