Résidences à assistance continue: «Personne n’est payé pour manger des claques»

Selon Marc Richard, président de la Fraternité des policiers et policières de la Ville de Québec, il devrait au minimum y avoir dans ces maisons du personnel et de la formation pour faire en sorte qu’il y ait moins d’interventions policières.

Le syndicat des policiers de Québec estime que les patrouilleurs interviennent trop souvent à la suite d’épisodes de violence dans les résidences à assistance continue (RAC) pour les déficients intellectuels et les autistes.