Cartel de l’essence: les pétrolières et le gouvernement refusent de divulguer plus de preuves

Dans le cadre du premier recours collectif du cartel de l’essence (Sherbrooke, Victoriaville, Magog et Thetford Mines), la Cour suprême avait ordonné la transcription et la remise aux automobilistes de 6000 conversations d’écoute électronique.

Le Bureau de la concurrence pourrait facilement, plaident les automobilistes, remettre les conversations d’écoute électronique prouvant, selon eux, un cartel de l’essence dans 18 villes, dont Québec et Lévis. Car l’organisme fédéral a déjà écouté toute la preuve pour les poursuites pénales en Estrie.