L'interprétation en retenue de Johnny Depp en Grindelwald le rend encore plus terrifiant en incarnation du mal. (Warner Bros./Warner Bros.)
CRITIQUE / Deux ans exactement après «Les animaux fantastiques», un antépisode de la saga Harry Potter, voici donc «Les crimes de Grindelwald». Les amateurs du genre en frissonnent d’anticipation, les autres vont hausser les épaules et feront bien. Confus, manquant du plaisir habituel et beaucoup trop compliqué pour rien, ce deuxième chapitre a de l’ambition, mais peu de résultats.